18 / 11 / 2025
Le Variant Frankenstein : un Nouveau Chapitre dans l’Évolution du COVID-19
Alors que l’automne 2025 s’installe, le virus SARS-CoV-2 nous rappelle qu’il n’a pas dit son dernier mot avec l’émergence d’un nouveau variant, surnommé "Frankenstein" ou XFG. Ce nom, inspiré par les médias pour son caractère hybride — un mélange génétique des sous-variants Omicron LF.7 et LP.8.1.2 (World Health Organization, 2025) —, évoque une créature complexe, mais pas plus menaçante que ses prédécesseurs, selon les experts comme Olivier Schwartz de l’Institut Pasteur. Ce variant, classé sous surveillance par l’OMS, se propage rapidement, passant de 17,3 % à 68,7 % en Asie du Sud-Est, de 7,8 % à 26,5 % dans les Amériques, et de 10,6 % à 16,7 % en Europe entre les semaines 21 et 22 de 2025. En France, les cas suspects ont bondi de 37 % du 15 au 21 septembre, avec un taux d’incidence grimpant de 38 à 49 pour 100 000 habitants, touchant particulièrement les plus de 75 ans (Santé publique France. (2025). Bulletin épidémiologique hebdomadaire, semaine 37 (15-21 septembre 2025).
Mais ne nous laissons pas intimider par ce "monstre" viral ! Les symptômes du XFG — fièvre, toux, maux de tête, courbatures, ou ce mal de gorge qualifié de "lame de rasoir" par certains — ne diffèrent guère des autres variants Omicron. Ce qui le rend unique, ce sont ses mutations (aux acides aminés 478 et 487 de la protéine de spicule), qui lui permettent d’échapper partiellement à nos défenses immunitaires, rendant la prévention essentielle (Lasrado et al., 2023; Cao et al., 2022). Si les vaccins protègent encore contre les formes graves, c’est notre capacité à renforcer notre terrain immunitaire qui fait la différence, surtout pour les plus vulnérables, comme les seniors ou les immunodéprimés.
Face à ce défi, pourquoi ne pas faire confiance à la sagesse de la nature ? Alors que le COVID-19 adopte un rythme saisonnier, semblable à la grippe (Davies et al., 2021), il est temps de soutenir notre corps avec des solutions naturelles. C’est ici que Feralen entre en scène, un complément alimentaire qui, grâce à ses propriétés oxygénantes et antioxydantes, pourrait être un précieux allié pour fortifier vos défenses face à des virus comme le Frankenstein. Découvrons ensemble comment ce remède, puisé dans la pharmacopée ancestrale et validé par des recherches modernes, peut aider votre organisme à relever ce défi viral.
FERALEN L’adversaire du virus Frankenstein
Les effets des principes actifs de ce complément alimentaire fortement oxydant sont connus, étudiés et utilisés depuis le Moyen Âge dans la pharmacopée naturelle. Récemment, ils ont été confirmés par de nouvelles études. Ce sont trois biologistes espagnols de l’Université de Madrid qui, dans les années 1980, travaillant sur les infections virales, ont décidé d’étudier l’action antiseptique de l’oxygène. Ils se sont rapidement intéressés au radis rustique, ayant remarqué qu’au cours d’un long processus biochimique, ses composants sont capables de maintenir l’oxygène stabilisé dans les tissus (Barillari et al., 2008).
Le principe du Feralen est qu’il agit en augmentant le taux d’oxygène dans vos tissus puis en le stabilisant. Cela a pour effet, entre autres, d’optimiser l’efficacité de votre système immunitaire, donc d’empêcher la prolifération de virus dans votre organisme.
Les principes actifs du Feralen sont extraits d’un légume de la famille des brassicacées : il s’agit d’un radis originaire d’Asie occidentale, assez rustique pour résister au froid, qui n’est pas traité, qui n’a subi aucune mutation et qui est naturellement très riche en enzymes peroxydases (les SOD, qui facilitent la communication entre les cellules, et la Catalase), ainsi qu’en acide muconique-sinigrine (Barillari et al., 2008).
L’une des propriétés du Feralen est de renforcer efficacement vos défenses immunitaires, par exemple, face à des virus nouveaux, comme celui du variant Frankenstein. C’est une propriété intéressante lorsque l’hiver revient et que le Covid nous menace de nouveau. Dans ce cadre, il convient aux personnes vaccinées ou non. En plus d’un antiviral, c’est aussi antibactérien, un antioxydant et un anti-âge efficace (Vouldoukis et al., 2004). Et ses domaines d’action lui permettent également de capturer et de supprimer les radicaux libres. Autant de fonctions qui le classent parmi les remèdes naturels les plus efficaces.
Son mode d’action
Son efficacité lui vient de sa richesse en peroxydases – ce sont des enzymes qui agissent comme des protectrices en neutralisant un seul radical libre par molécule, ce qui permet de suspendre la chaîne de transformations chimiques des réactions radicalaires (Younus, 2018). Mais son intérêt vient surtout de son abondance en catalase qui est une enzyme antioxydante permettant d’éliminer dans les tissus le peroxyde d’hydrogène (H2O2) résiduel, en le transformant en dioxygène (O2) et en eau (H2O), ce qui provoque dans l’organisme une libération d’oxygène stabilisé et améliore d’une façon importante la fonction respiratoire (Tehrani & Moosavi-Movahedi, 2018). L’oxygène a également une fonction antiseptique importante dans vos tissus.
Mais dans l’organisme, l’oxygène a aussi une importante fonction antiseptique. Donc, en tant que puissant agent oxygénant, ce radis rustique crée un environnement qui bloque efficacement le développement viral. Il n’est pas en soi un antiviral, mais il crée une barrière à la propagation des virus, par exemple le variant du Covid qu’on a baptisé Frankenstein. Il agit comme un catalyseur capable d’éliminer activement de nombreux radicaux nocifs, et donc de suspendre la chaîne de réactions radicalaires.
La thérapie de l’oxygène stabilisé
Le Feralen contient aussi des superoxydes dismutases (SOD) : ce sont des enzymes qui ouvrent la communication entre les cellules et qui construisent une ligne de défense efficace contre la toxicité des radicaux libres produits par l’organisme. C’est donc un puissant antioxydant (Carillon et al., 2014). Or, les résultats d’études récentes ont démontré que la durée de vie des cellules était augmentée de 50 pour cent grâce à l’accroissement de leur taux de superoxydes dismutases et de catalase.
Tous les composants du Feralen, précurseur d’un oxygène stabilisé dans les tissus, créent donc une synergie qui agit de plusieurs façons : sur vos cellules en facilitant la mort des bactéries, des champignons, des protozoaires, des nématodes et d’autres agents infectieux ; sur les facteurs inflammatoires en activant les lipides qui contrôlent le mouvement positif de vos cellules (chimiotactiques) ; sur les composants cellulaires par l’oxydation de certains intermédiaires glucolytiques, et de certaines protéines.
Le champ d’action que vous offrent les enzymes peroxydases est donc très large :
• dans les cellules, en facilitant la mort des pathogènes : les bactéries, les champignons, les protozoaires, les nématodes, mais aussi en absorbant et en détruisant les corps étrangers (phagocytose), ainsi qu’en luttant contre la propagation d’autres agents infectieux ;
• sur tous les virus : en particulier ceux des infections virales des voies respiratoires, comme la grippe, ceux du Covid (entre autres le variant Frankenstein), etc., et ceux des gastro-entérites. Feralen n’est pas à proprement parler un antiviral mais un frein efficace à la propagation des virus ;
• sur les cellules tumorales, en accélérant leur destruction ;
• au niveau sanguin, en soutenant les érythrocytes (globules rouges), les leucocytes (globules blancs), les plaquettes (qui aident le sang à coaguler), les cellules endothéliales (qui contrôlent votre tonus vasculaire), etc. ;
• sur le système immunitaire qui, en cas d’agression virale ou microbienne, a besoin jusqu’à vingt fois plus d’oxygène pour se défendre : le Feralen augmente le taux d’oxygène dans les tissus puis le stabilise, ce qui renforce la protection de votre organisme contre les agressions extérieures, par exemple sur la fonction respiratoire, mais aussi contre les déséquilibres du fonctionnement interne de l’organisme ;
• sur les facteurs inflammatoires en activant les lipides chimiotactiques (qui orientent le déplacement positif des cellules) ; en désactivant les peptides chimiotactiques (qui orientent le déplacement négatif des cellules) ; et en inhibant les antiprotéases, les hydrolases de leucocytes, les toxines bactériennes et les méta-enképhalines ; ainsi qu’en ayant un effet, entre autres, sur le rhume, la toux, les douleurs inflammatoires ;
• sur les composants cellulaires en oxydant certains intermédiaires glucolytiques (ceux chargés de l’assimilation du glucose) ; en oxydant certaines protéines ; en hydrolisant la coenzyme nicotinamide adénine dinucléotide (la NAD) ; en peroxydant certains lipides ; en simplifiant certains mucopolysaccharides ;
• sur les radicaux libres, en entraînant un effet anti-âge important. Les résultats d’études récentes sur les animaux ont en effet montré que l’augmentation dans les cellules du niveau de deux des composants du Feralen – le superoxyde dismutase (qui piège les radicaux libres) et la catalase (une enzyme antioxydante) –, augmentait leur durée de vie de 50 pour cent.
• Enfin, Feralen est parfois même utilisé comme un agent tonique et stimulant, un atout précieux pour la vie quotidienne.
Ses indications
L’avantage de l’oxygène libéré/généré par le Feralen est qu’en créant un environnement défavorable au développement de phénomènes invasifs, il offre un large spectre d’applications protectrices pour tout l’organisme et il agit sur des pathologies très diverses, et cela en n’engendrant aucune toxicité. La synergie entre ses composants multiplie en effet son efficacité dans tout votre organisme
Par exemple, en augmentant le taux d’oxygène dans les tissus de votre corps, il stimule tout votre système immunitaire, avec comme résultat des effets positifs sur les nombreuses pathologies qui sont évoquées ci-dessous.
Ses composés peuvent aussi avoir des effets antibactériens et antioxydants qui contribuent à combattre les infections et à réduire le stress oxydatif.
D’autre part, en luttant contre les virus, le Feralen associé à l’ADN téloméractives pourrait être efficace, en prévention, contre certains troubles neurodégénératifs.
Tenant compte de cette large sphère d’activité, des études récentes ont confirmé son action positive dans tous les types d’affections.
Les lésions infectieuses :
• toutes les viroses, en particulier les infections virales des voies aériennes et hépatiques, la gastro-entérite, etc.,
• l’endocardite infectieuse (d’origine bactérienne),
• les infections dues à la bactérie Influenzae,
• la mononucléose infectieuse.
Les maladies inflammatoires :
• l’acné, une dermatose inflammatoire,
• la toux, en favorisant l’élimination des sécrétions des voies respiratoires grâce à ses propriétés expectorantes,
• la fièvre, dès les premiers symptômes de son apparition,
• l’état inflammatoire des tissus de l’organisme en général.
Les maladies virales (tous les virus) :
• le Covid (toux, essoufflement ou sensation d’oppression, maux de tête, courbatures, fatigue inhabituelle, perte brutale de l’odorat et/ou du goût, diarrhée), provoqué par un coronavirus,
• le rhume, en tant qu’infection virale des muqueuses du nez, de la gorge et des sinus,
• la grippe, une infection respiratoire aiguë due au virus Influenza (en 48 h),
• le syndrome grippal, dû à l’un des nombreux virus circulant durant l’automne et l’hiver,
• la mononucléose infectieuse, provoquée par le virus d’Epstein-Barr,
• les infections virales du foie (gastro-entérite, en 24 h),
• l’herpès zoster (varicelle, zona) que les dernières découvertes scientifiques permettent de mettre en relation avec la maladie d’Alzheimer,
• le zona, une réactivation du virus de la varicelle…
La faiblesse de l’immunité :
• l’immunodéficience : la défense de l’organisme en général, par une stimulation et un renforcement du système immunitaire,
• la sclérose cérébrale à plaques, une maladie auto-immune affectant le système nerveux central et entraînant des perturbations motrices, sensitives, cognitives, visuelles ou sphinctériennes (urinaires et intestinales).
Le vieillissement :
• une action anti-âge par le renforcement de l’organisme contre l’action de vieillissement des radicaux libres.
Sa posologie
En soutien : 2 gélules au lever, 2 gélules au coucher.
Dès les premiers signes de fébrilité, toux, essoufflement, frissons, prendre 3 gélules toutes les
8 h, pendant 24 h (soit 9 gélules). Normalement tout doit rentrer dans l’ordre sous 24-48h .
References
1. World Health Organization. (2025). WHO TAG-VE Risk Evaluation for SARS-CoV-2 Variant Under Monitoring: XFG.
2. Santé publique France. (2025). Bulletin épidémiologique hebdomadaire, semaine 37 (15-21 septembre 2025).
3. Lasrado, N., et al. (2023). Neutralization escape by SARS-CoV-2 Omicron subvariant BA.2.86. Vaccine, 41(47), 6904–6909. doi:10.1016/j.vaccine.2023.10.080.
4. Cao, Y., et al. (2022). Characterization of the enhanced infectivity and antibody evasion of Omicron BA.2.75. Cell Host & Microbe, 30(11), 1527–1539. doi:10.1016/j.chom.2022.09.018.
5. Davies, N. G., et al. (2021). Estimated transmissibility and impact of SARS-CoV-2 lineage B.1.1.7 in England. Science, 372. doi:10.1126/science.abg3055.
6. Barillari, J., et al. (2008). Antioxidant and choleretic properties of Raphanus sativus L. sprout (Kaiware Daikon) extract. Journal of Agricultural and Food Chemistry, 56(19), 8754–8760. doi:10.1021/jf801123z.
7. Vouldoukis, I., et al. (2004). Antioxidant and anti-inflammatory properties of a Cucumis melo LC. extract rich in superoxide dismutase activity. Journal of Ethnopharmacology, 94(1), 67–75. doi:10.1016/j.jep.2004.04.023.
8. Younus, H. (2018). Therapeutic potentials of superoxide dismutase. International Journal of Health Sciences, 12(3), 88–93.
9. Tehrani, H. S., & Moosavi-Movahedi, A. A. (2018). Catalase and its mysteries. Progress in Biophysics and Molecular Biology, 140, 5–12. doi:10.1016/j.pbiomolbio.2018.03.001.
10. Carillon, J., et al. (2014). Dietary supplementation with a superoxide dismutase-melon concentrate reduces stress, physical and mental fatigue in healthy people: A randomised, double-blind, placebo-controlled trial. Nutrients, 6(6), 2348–2359. doi:10.3390/nu6062348.